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MON PAYS : LA FRANCE DE CLOVIS
21 avril 2012

Merde, Marre, vite Marine !

Elysée 2012 – La force des choses

 

Je vais être un peu long, mais ce dimanche sera le jour le plus long.

 

Quelle France voulons-nous ?

Quelle place les Français occuperont-ils dans leur pays ?

Quelle place la France se taillera-t-elle dans le monde ?

 

Pour nous maintenant, pour nos enfants demain, et c’est déjà demain, quel espace le vieux chêne français enraciné dans plus de 1500 ans d’histoire trouvera-t-il dans les folies financières et planétaires ? Il a noué ses racines multiples dans toutes les origines du monde. Notre fierté !

 

Aujourd’hui, il est menacé par la cognée des irresponsables.

La hache de fer du mondialisme, du communautarisme, du multiculturalisme frappe.

La hache de fer des délocalisations, des marchés, de la concurrence déloyale, de la pauvreté, des hausses d’impôts frappe.

La hache de fer de la perméabilité des frontières, de l’immigration incontrôlée, de l’insécurité frappe.

La hache de fer de la perte de notre identité, de notre culture, de notre histoire, de notre souveraineté frappe.

 

Le peuple en a conscience sourdement, mais il doit se taire, se terrer. Quand il parle, on trahit, comme l’a fait Sarkozy en 2005, sa parole !

 

Il n’a pas le droit de dire non au monde inhumain de la finance, aux prêcheurs en onde, aux tyrans technocrates qui le pillent dans le piège de leurs seuls intérêts.

 

Il doit être Grec, Espagnol, et se taire ! La maréchaussée médiatique pense pour lui, parle pour lui, vote pour lui, moralise pour lui. S’il ne pense pas, ne parle pas, ne vote pas comme BHL, qui charrie la charia derrière lui, il est condamné à l’insulte des salons pseudo-salvateurs ! S’il s’indigne des fortunes cachées des syndicats, 4 milliards d’euros par an, s’il s’étonne que la CGT possède un château mélanchonien dans l’Essonne, il est populiste, le peuple pauvre !

 

S’il s’inquiète de l’assassinat sur son territoire de ses frères soldats d’origine nord-africaine, de ses frères et sœurs d’origine juive, il est raciste, amalgameur ! S’il s’étonne de la présence hier encore autorisée de prêcheurs plein de haine, crachant dans des micros l’antisémitisme et la mort de l’occident, il est intolérant !

Merde, Marre, vite Marine !

 

La France n’est pas finie ! Sarkozy est fini, Hollande n’a jamais existé !

 

Quel choix ?

 

D’un côté l’échec assuré par l’homme sans foi ni loi, qui a trahi toutes ses promesses, une bouteille d’Orangina politique qui croit exister parce qu’il se secoue,

de l’autre un mime sans voix, qui a la consistance d’une penderie où chaque jour il se déguise en Mitterrand du geste, de la phrase, de l’intonation. Il voudrait être la France et il n’est pas foutu d’être lui-même.

Même Mélenchon mime De Gaulle. Pauvre général stalinisé par la faucille, le marteau, et la fourchette qui picore, avec l’ancien directeur de Minute, les tartelettes de la tartuferie dans les assiettes dorés de l’Elysée.

 

La seule à avoir eu le courage de dénoncer les maux qui nous accablent, d’abord sous les critiques ricaneuses, ensuite sous le vol de ses idées, reprises par les mêmes, c’est Marine le Pen.

Les traités européens, quand elle a parlé de les discuter, elle était ridicule. Aujourd’hui, les copieurs copient.

Les droits de douanes pondérés, la protection aux frontières, le danger des délocalisations, la menace intégriste, l’immigration, pareil, les copieurs copient ! La discussion sur l’euro, pareil !

 

Celle par qui la parole a été dite, celle qui décoche la parole libre, est la seule par qui l’acte d’intérêt général peut se réaliser. Malgré le système qui nous étouffe, respirons un peu. Notre histoire, c’est l’air du large marin.

Que la gloire oubliée des drapeaux de Wagram, l’esprit de Valmy d’où surgit la Nation, la générosité de la nuit trahie du 4 août, l’ironie constructive de Voltaire réhabilitant Calas, la tendresse de Victor Hugo pour les misérables, le courage de Clémenceau défendant Dreyfus, l’âme de la résistance ; que le souffle parfois hué de la Marseillaise, ranime notre espérance dans l’avenir. Sarkozy, c’est fini !

Tout est à faire, tout est à reconstruire, Marine Le Pen peut le faire. Il suffit que vous le vouliez.

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